Ecoute des Histoires de Sexe réelles au telephone
0895 896 664
J’étais super heureux. Enfin j’avais réussi à décrocher un entretien pour un emploi dans une société côtée. Je savais aussi que je correspondais parfaitement au profil suite à l’entretien téléphonique que j’avais eu avec le directeur des ressources humaines. Le jour du rendez-vous je me mis sur mon 31 et me rendis à cet entretien.
Arrivé à la société on me fit patienter trente minutes puis on me dirigea vers un bureau. J’entendis une voix « Entrez la porte est ouverte ».
Je poussai la porte et mon regard se porta sur la femme qui était assise derrière un bureau. Quelle surprise !!! Je tombai nez à nez avec une ex que j’avais virée de chez moi comme une malpropre. Bien qu’elle fusse bandante c’était une folle furieuse obsédée sexuelle et manipulatrice. Personne ne la supportait, je pensais notamment à mes amis qui me l’avaient présentée comme étant un bon coup.
Elle était vêtue d’une veste de tailleur ouverte et un chemiser blanc ouvert qui laissait entrevoir son soutien-gorge, elle portait des lunettes qui lui donnait un air de salope bien qu’elle ait une excellente vue mais je sais qu’elle adorait etre lookée. Un sourire se dessina sur son visage…
– Tiens donc quelle surprise
– Ah salut Annabelle comment vas-tu ? en effet pour une surprise c’est une surprise, tu travailles ici ?
– Ben non tu vois bien que je fais mes courses ducon
– Tu n’es pas obligée de m’insulter
– Ah oui ? et tu as oublié ce que tu m’as fait ? tu m’as mise à la porte puis tu as déménagé changé ton téléphone ? et j’ai du voir un psy. Bon on verra ca plus tard tu peux me dire ce que tu fais la ?
– Ben pour le boulot pardi, le poste m’intéresse vraiment et tu me connais je suis très motivé et le salaire lui aussi est motivant.
– Aaahhh okkkkk, dit-elle en souriant, tu es motivé, eh bien on va voir ça, as-tu prévu quelque chose ce soir ?
– Ben shais pas encore sinon y a pas de tests ou de choses comme ca ?
– Ecoute ça ne sera pas nécessaire je connais tes compétences d’ailleurs j’ai parlé de toi au directeur des ressources humaines et je pense que le poste est pour toi mais avant j’ai tout de même demandé à te rencontrer.
– Merci merci vraiment je ne sais pas quoi dire et tu sais la dernière fois je n’avais pas le choix tu as tout de même déchiré tout mon album photo grillé mon disque dur et cassé ma télé parce que je regardais une chanteuse que j’aimais sans compter les coups que tu m’as donné parce que j’ai parlé à ma voisine.
– Oui je sais mais à cette époque j’étais fragile, à présent je suis mariée à un mec formidable. Crois-moi tout cela c’est du passé je ne t’en veux pas. C’est pour cela que j’ai accepté le rendez-vous. Néanmoins pour obtenir ce poste il y a une petite condition.
– Ah oui laquelle ?
– Mon mari est en déplacement, toi et moi avons un passif j’ai donc besoin d’eclaircir certaines choses avant qu’on ne travaille ensemble mais je ne peux en parler ici, alors rendez-vous ce soir à 20h.
– Ben je peux pas je suis pris
– Ok à toi de voir si tu veux le poste
– Bon ok ou se voit-on ?
– Bien que j’ai ton adresse sur le cv je ne vais pas aller chez toi sans invitation alors voici la mienne viens ce soir à 20h je t’invite à diner, sur ce à tout a l’heure et ne sois pas en retard bye bye et ravi de t’avoir revu.
Je sortis de la société un peu hébêté. Je tombai de haut. Je tenais à ce poste plus que tout et cette grognasse folle furieuse profitait de la situation. On devrait vérifier les aptitudes psychologiques des gens avant de les placer à des postes aussi importants, d’ailleurs comment avait-elle fait pour avoir ce poste? Mystère.
Le soir je me rendis chez elle, elle vivait dans un beau quartier, tant mieux, ça me changeait de son ancien quartier craignos, et visiblement elle avait aussi changé de statut social. Je montai directement chez elle et sonnai à la porte. J’entendis un « j’arriiiive » enjoué. Elle ouvra la porte vêtue (si on peut appeler ça vetue) d’un shorty en dentelle qui moulait ses fesses bien fermes et un petit débardeur a travers lesquelles pointaient ses petits têtons, ça commencait bien. Elle m’invita à m’assoir dans le canapé en face de la télé pendant qu’elle préparait à dîner puis elle revint quelques instants plus tard avec deux apéritifs et s’assit directement sur mes genoux.
Au fil de la discussion je m’aperçus qu’elle ne m’en voulait plus et je commençai à me détendre. Nous dinâmes légèrement puis nous regardâmes une comédie très sympa. Arriva la fin de la soirée et je voulus partir mais elle me força à rester prétextant que j’étais au chômage et que je n’avais rien à faire le lendemain, elle avait raison et j’acquiescai, de plus elle avait elle aussi pris un jour de congé. Visiblement elle avait tout prévu et elle tenait les rênes, et puis après tout, si elle était redevenue « normale » et que nous étions sur le point de travailler ensemble tous les jours, il valait mieux faire le mec sympa.
Plus la soirée avançait et plus elle se collait à moi à tel point qu’à la fin elle avait la tête sur mes genoux et je lui caressai tendrement la poitrine et le ventre. Elle était tellement sexy mais après ce qu’elle m’avait fait vivre l’envie n’était pas au rendez-vous. Et moi je suis quelqu’un d’assez sensible j’ai besoin d’aimer pour faire l’amour, contrairement à elle. Je remarquai que je lui plaisais toujours car elle me bouffait des yeux en permanence, à quoi bon avoir mis la télé alors ? Couchée sur mes genoux elle tourna sa tête et commença à me mordiller où je pense. Certes j’ai besoin d’aimer pour baiser mais là je ne pouvais résister à un frottement sur ma braguette qu’elle commença à défaire. Je n’avais pas de slip car je n’en porte jamais ce qui fait que le bout de ma queue pointait déjà à l’extérieur, elle me regarda en souriant. Elle n’était pas complètement sortie qu’elle se mit à lécher ma bite du bout de sa langue. Ma bite grossissait de plus en plus jusqu’à sortir presque entière de mon pantalon et c’est la qu’elle avala mon gland. Oh lala quel délice quelle bouche chaude! Elle remit ses cheveux en arrière et aspira mon gland encore plus fort. Alors que j’étais assis mon dos commença à se raidir et je me mis à lui tenir la tete pour la guider et me mis à la caresser partout jusqu’au creux de ses reins. Elle enleva son haut et je remarquai que ses seins étaient toujours aussi beaux, elle était bandante et expérimentée. Lorsqu’elle me suçait elle arrivait à sortir sa langue et lécher avec c’était une sensation fort agréable qui m’excitait et peu de filles savaient le faire. Elle continua à me pomper le gland alors j’ouvris complètement ma braguette et comme à son habitude elle avala ma queue entièrement, elle devait avoir très faim, cette salope n’avait pas changé d’un yota question sexe. Mes mains devenaient de plus en plus baladeuses elle se mit sur le canapé sa croupe bien en l’air la bouche sur ma queue je glissai mes doigts vers ses fesses et commençai à la fesser et lui pincer le cul doucement, elle adorait ça cette chienne. J’enlevai délicatement son shorty très sexy. Au bout d’un moment je sentis que j’allai exploser et lui demandai d’arrêter. Je n’avais pas envie de jouir tout de suite je me mis à l’embrasser sur la bouche tout en la serrant contre moi, elle sentait bon. Elle continua de me branler tout doucement alors que ma bouche se dirigeait vers ses seins que je me mis à bouffer. Je pris ses têtons entre mes dents et je les mordillai doucement…je léchais et elle poussait des cris de plaisir tellement elle aimait ça. Je la retournai et commencer a mordiller son dos puis je descendis jusqu’à sa raie où ma langue travailleuse ne s’arretait plus de faire des va-et-vient puis d’un coup d’un seul j’ecartai ses fesses et introduisis ma langue dans son cul. J’entrai puis je sortai tout en pensant à ce poste que je devais obtenir à tout prix. Dans le même temps mes doigts se baladaient sur sa chatte sans la pénétrer, je massais son pubis et sa chatte trempée …puis je remontai et ainsi de suite pendant un certain temps.
J’avais envie de la baiser mais elle avait encore envie de sucer on se mit en position soixante-neuf. A un moment elle explosa de bonheur avec une intensité telle que cela rassura mon égo de chômeur. En effet depuis que j’étais au chomage je ne fréquentais plus de nanas n’ayant plus les moyens de les inviter. C’est bon me dis-je j’assure encore de ce coté et cela me rassura. Elle reprit ses esprits après quelques minutes puis elle me branla doucement tout en m’embrassant dans le cou la poitrine le ventre, j’étais aux anges, pourquoi l’avais-je quitté me demandai-je. Je constatai qu’un homme pardonnait tout lorsqu’une femme le faisait monter au septième ciel. J’avais envie de sa croupe je la mis à quatre pattes sur le canapé et frottai ma bite contre sa chatte et son cul puis je pénétrai son vagin délicatement avec mon gland. J’entrais et sortais d’un coup sec et à chaque fois elle poussait un cri de bonheur et cela pendant quelques minutes, puis je sentis sa main me prendre la hanche me faisant comprendre que je devais y aller. Je la pénétrai alors de toute la longueur de ma queue et la baisai ainsi de longs moments tout en la fessant et la pinçant, je voyais ma bite aller et venir tout en sentant mes couilles taper sur son cul. A un moment je restai immobile et elle se mit a faire des va-et-vient sur ma grosse queue dure. Elle s’empala ainsi très longtemps jusqu’à ce que je decide de changer de position. Je la mis sur le dos lui écarta les jambes et la pénétrai encore une fois après avoir frotter mon gland sur son clitoris. Dans le même temps elle se massait les seins et titillait ses têtons. Puis à mon tour j’explosai de tout mon être sur sa chatte et son ventre puis je me rapprochai de sa bouche pour qu’elle continue à aspirer ce qu’il restait de sperme. Je débandai doucement et m’assis sur le canapé, elle en profita pour aller se nettoyer et chercher de quoi grignoter. C’était une soirée superbe comme je n’en avais pas vécue depuis des mois. Elle m’invita à dormir chez elle et nous en profitâmes pour baiser toute la nuit. Apparemment avec son mari ce n’était pas vraiment ça et je profitai du vide qu’il avait laissé pour la combler dans tous les sens du terme et surtout dans toutes les positions.
Le lendemain matin je la quittai fier de moi et heureux de cette soirée baise. Elle me promit de m’appeler mais je n’eus plus de nouvelles. J’ai bien tenté de la rappeler mais elle ne répondait jamais et c’est là que je compris que je m’étais fait avoir. Depuis je rêve de me faire avoir chaque jour.