L’histoire que je vais vous conter est réelle. Je suis archéologue depuis 25ans, j’adore ce métier, découvrir l’histoire du monde à travers la recherche d’objets du passé est pour moi une chose fabuleuse. Or cette fois la découverte que j’avais faite a bouleversé ma vie pour toujours.

Nous étions une équipe de cinq chercheurs, trois femmes et deux hommes. Physiquement nous ressemblions à des archéologues, cad que le look attirant etc n’était pas de mise. Bien que la directrice de l’équipe fut une femme au gros cul avec de gros seins, ce n’était pas mon style, les autres étaient disons potables mais un peu coconnes, genre intello à lunettes et coincées. Pour vous décrire le genre de nanas de cette équipe c’est simple. Un jour je fus surpris par l’une d’elle en train de me branler et elle s’était enfuie en courant. Et depuis elle me regardait avec un air suspicieux. Aaahh ces intellos.

Elle me poussa sur le dos et ni une ni deux s’empala sur ma bite

Moi-même je suis un peu mince de nature avec une petite barbichette, j’aurais aimé soigner mon look mais je n’en vois pas l’intérêt vu que je suis toujours dans la boue. En plus je n’ai plus de copine la dernière m’ayant laissé tomber comme toutes les autres à cause de mes longues absences à l’étranger. Fort heureusement nous pouvions nous connecter à internet par satellite sur quelques sites pornos et malgré la fatigue le soir nous trouvions toujours un peu de force dans le poignet pour nous soulager de ces dures journées.C’est ce que font tous les archéologues perdus dans le désert.
Il arrivait parfois que dans certaines équipes se trouvent des nanas canons mais cette fois ce n’était pas le cas et au bout de trois mois ca commencait à être difficile. Parfois je regrettais aussi de ne pas être homo vu qu’on était souvent entouré de mecs musclés à grosses bites, car je me serais éclaté comme un fou, mais voilà on ne choisit pas d’être homo malgré une tentative lorsque j’étais jeune, cela ne m’attirait pas outre mesure.

J’avais un peu peur de cette directrice car j’avais dans l’idée qu’elle voulait coucher avec moi mais c’était hors de question. Elle ne pensait qu’au cul et se tapait tous les autochtones jeunes et beaux. Je me disais que même si je me retrouvais sur une ile déserte avec cette cochonne salope il était impensable de coucher avec elle, plutôt mourir que de coucher avec cette obsédée sexuelle.

Pour cette expédition nous étions dans un temple maya à la recherche du tombeau d’un ancien empereur. Nous avions creusé des semaines entières avec des autochtones et nous approchions de notre but.  ..
Ce jour-la nous décidâmes de renvoyer tous les autochtones car le plus gros du travail était fait. Le tombeau avait été découvert et seule l’équipe pouvait assister à l’ouverture du tombeau, simple précaution d’usage. Nous avions branché la caméra et la directrice sortit un pied de biche pour ouvrir le tombeau. Nous avions travaillé dans le plus grand secret pour un milliardaire passionné des temples maya et attendions tous ce moment depuis des années.

La grosse directrice s’empara d’un pied de biche et commença à ouvrir le tombeau lorsque tout à coup un gaz de couleur bleuté s’en échappa et je tombai dans les pommes. Lorsque je me réveillai la pièce dans laquelle nous étions était transformée. Le tombeau avait disparu et des bougies étaient allumées tout autour de la pièce. Le sol était recouvert de tapis. Plus étrange encore j’étais affallé sur un matelas dans une tenue de l’ancien temps, et plutôt sexy je dirais. Des corbeilles de fruits étranges étaient posées devant nous. Plus étrange encore j’étais entourée de trois belles jeunes femmes et un jeune ressemblant à un serviteur dans une tenue presque dénudée, était ce un eunuque ? Je me rendis par la suite que pas du tout. J’avais peur et me demandais ce qui s’était passé. J’avais certainement été transporté dans le temps à une époque antérieure c’était la seule explication. La pièce était fermée il m’était impossible d’en sortir. Je m’apercus que deux des femmes commençaient à se caresser comme si je n’existais pas. Elles étaient exactement à mon gout c’est à dire blondes canons à gros seins. J’ignorais que les femmes de cette époque étaient blondes et sexy. Quoi qu’il en soit il y avait quelque chose de louche et je devais trouver une solution. La femme qui restait seule s’approcha de moi et je reculai contre le mur, je n’avais aucune issue. Celle-ci était brune à la peau mate et aux cheveux longs et ses parties étaient recouvertes d’une peau en cuir, ce qui n’empechait pas de laisser ses fesses un peu visibles alors que ses seins dénudés etaient entourés de lanière de cuir.

Elle me fit un grand sourire qui me rassura et me pris la main. A ce moment je sentis comme une montée d’adrenaline suivie d’une pulsion sexuelle sans précédent. Je me mis à bander comme jamais et je vis ma bite sortir de sous cette espece de peau en cuir qui recouvrait mes parties, et apparemment je n’avais plus de slip. Tout en me regardant elle prit ma bite entre ses mains et commencai à la branler je sentais que j’allais jouir tellement c’était puissant mais non, et le plaisir augmentait sans cesse. Elle se pencha cracha sur ma bite puis commenca à me lécher le gland c’était divin. Lorsque qu’elle se décida à prendre mon gland en bouche je sentis comme une chaleur émanant de sa bouche, c’était extraordinaire. Elle me suça durant un long moment aspirant ma bite et massant mes grosses couilles épilées à la fois. Impossible de jouir et pourtant le plaisir était extrême. Pas loin de moi l’eunuque était toujours debout et ne bougeait pas. Les deux autres jeunes femmes blondes continuaient à se caresser pour ensuite se frotter l’une contre l’autre chatte contre chatte. Je n’avais jamais vu d’aussi belles croupes en chaleur à part dans des pornos. Elles n’arrêtaient pas de pousser des petits cris qui m’excitaient davantage.

Ma suceuse de bite continuait de me pomper avidemment tout en me regardant et en souriant.  Que pouvais-je faire d’autre ? je me mis à la caresser à mon tour, sa peau était douce comme de la soie, ses seins en forme de poire étaient d’une fermeté parfaite et ses têtons pointaient comme des missiles prêts à partir. Dans ma position j’en profitai pour toucher son corps ses épaules sa nuque son dos et ses cheveux si doux. D’un seul coup d’un seul j’eus un orgasme sans nom et j’explosai de plaisir en lâchant un « aaaaahhh c’est trop boooonnnnnnn » de bonheur. Mais voila rien ne sortit de ma queue et je ne débandai pas. Ma jeune brune se retourna et m’offrit sa croupe en chaleur. J’enlevai son espèce de jupe en cuir et me retrouvai avec sa croupe nue à disposition.

Ni une ni deux je la pénétrai avec mon gros membre. C’était inimaginable la sensation que j’eus, la pipe qu’elle m’avait faite n’était rien en comparaison. Je commencai à la limer doucement au début puis de plus en plus vite, elle hurlait de plaisir et poussait tres fort pour que je la pénetre à fond. C’était à la fois chaud humide et doux, je ne pourais décrire cette sensation. Je tenais son cul entre mes mains et ne le lâchai plus une heure durant, ce qui était un exploit pour moi. Les deux blondes salopes à coté s’en donnait à cœur joie, ellles avaient appelé l’eunuque qui n’en était pas un et s’amusait avec lui, apparemment c’était leur jouet, quelle chance il avait. Je décidai de les rejoindre mais elle m’en empêcha. Elle me poussa sur le dos et ni une ni deux s’empala sur ma bite. Elle sautait dessus avec un plaisir certain et moi je bandais toujours comme un fou. Elle se retira pour ensuite s’empaler sur ma bite mais cette fois elle se la mit dans le cul. C’était serré et le plaisir fut encore plus grand. Subitement, je m’endormis.

J’ignore combien de temps je m’étais endormi mais à mon réveil je sentis quelque chose de doux et chatouilleux sur mon corps. Je m’aperçus que les deux blondes chaudes étaient sur moi,  l’une me léchait le corps et l’autre léchait ma queue visiblement toujours en bonne forme. Elles me firent toutes deux un grand sourire et continuèrent comme si de rien n’était. J’avais très faim et je pris quelques fruits dans la corbeille qui ressemblaient à des raisins, c’était délicieux. Ma belle brune était en train de se caresser seule de l’autre coté de la pièce et le faux eunuque comme je l’appelais nous regardait.

Les deux blondes salopes à gros seins n’avaient de cesse de me lécher leur langue me procuraient un tel un plaisir. Elles se mirent toutes deux près de ma bite et me pompèrent tout en se passant la bite chacune leur tour, parfois l’une me suçait le gland alors que l’autre aspirait mes couilles dans sa bouche de salope. Leurs mains etaient si douces. Je pris une des blondes par la tête et commencai à lui rouler une pelle puis à caresser ses seins. Se faire sucer et lécher par deux femmes chaudes en même temps rien de tel. je lui demandai de venir sur moi. Elle s’assied sur mon visage et je lui bouffai sa chatte humide et dégoulinante, je lui passai les doigts dans la raie et lui doigtai le cul au passage. Celle qui me suçait s’assied à côté de nous et commenca à me branler puis à son tour s’empala sur ma bite comme la brune avait fait, et le rodéo commenca. Cette fois avec une chatte dans la bouche c’était encore plus fantastique. Il me serait difficile de décrire toutes les positions que j’eus avec ses deux belles femmes hyper coquines mais je peux vous dire que c’était exceptionnel. A un moment je les mis l’une sur l’autre et les baisai tour à tour, j’avais quatres trous à ma disposition. Apres plusieurs orgasmes successifs je m’endormis malgré tous mes efforts pour rester éveillé.

Je fus réveillé par la grosse directrice qui ronflait couchée a coté de moi dans la poussière, idem pour les deux intellos qui étaient dans un piteux état, sans parler de mon associé. Le tombeau avait disparu. Les femmes n’arrêtaient pas de toucher leur cul en souffrant et ma bite etaient enflée comme si elle avait subi une attaque de moustiques. C’est là que nous comprîmes ce qui s’était réellement passé, nous avions été victimes d’une hallucination collective. Personne n’osait rien dire ni même se regarder. Au vu de notre état nous appelâmes les secours et fûmes immédiatement rapatriés à la ville la plus proche par hélicoptère. Sous le coup de l’émotion nous oubliâmes de visionner la caméra mais le donneur d’ordre ne se gêna pas pour la voir. Il fut surpris de constater une énorme partouze entre nous. Nous avions beau lui raconter ce qui s’était passé il ne nous crut pas et nous fûmes renvoyés sans etre payé. Malgré tout je ne regrette rien de ce qui s’est passé.

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