En cette belle journée ensoleillée j’avais décidé de m’asseoir à une terrasse de café située à la sortie d’une bouche de métro pour mater les nanas qui en sortaient. La place que j’avais choisie se trouvait en face de sorte que je n’en ratais aucune. Mon quartier était à la mode donc c’était un défilé permanent de belles gonzesses dans des tenues excitantes pour la plupart.

Avec la chaleur toutes les nanas de 18 à 45 ans étaient habillées comme des salopes, c’est-à-dire quasiment dévêtues. Certaines étaient en mini-jupe si courte qu’on aurait pu apercevoir leur belle petite chatte épilée, mais pour la plupart on voyait le bas des fesses quand même. En haut elles avaient des tops moulants à bretelles sans soutien-gorge alors que d’autres avaient des petites robes transparentes à travers lesquelles on devinait leurs formes et surtout leur petite culotte quand ce n’était pas des strings. D’autres étaient en legging qui moulaient bien leur cul de salope, celles-la je les aimais bien elles me faisaient bander car leurs fesses étaient bien en évidence. Moi-même j’avais un pantalon en lin beige qui mettait ma paire de fesses en valeur et une chemise blanche transparente à demi-ouverte, de belles lunettes noires et du gel sur les cheveux, en résumé j’étais prêt à draguer.
Comme à l’accoutumée j’attendais ma proie, c’est-à-dire une belle chienne en chaleur seule dans la vie ou accompagnée par une bitte molle et qui rêvait d’une seule chose, s’empaler sur la belle bite d’un inconnu après l’avoir pompé comme il se doit. Ayant travaillé dans les marchés durant une dizaine d’années les passantes de la rue n’avaient plus aucun secret pour moi, au moindre regard je pouvais deviner si elle cherchait un mec.
La salope que j’attendais ne se fit pas attendre. Au bout de trente minutes et après avoir croisé une quinzaine de regards de filles chaudes, j’en aperçus une qui ma foi correspondait bien au type de nana que je me tapais régulièrement et au premier regard je sus qu’elle était pour moi. En sortant du métro elle commença à regarder à droite et à gauche et je compris qu’elle était perdue. Nos regards se croisèrent et avec mon sourire charmeur je lui fis comprendre que je pouvais l’aider. Elle s’approcha de moi et me demanda si je connaissais le nom d’une rue. Je lui répondis que oui et l’invitai à se rafraîchir si elle n’était pas pressée tout en prétextant qu’avec la chaleur il fallait se réhydrater. Après une âpre négociation elle accepta et j’appelai le serveur pour la servir.

Elle avait environ 30 ans et avait l’air d’une fille de bonne famille. Elle était très classe et ne faisait pas pétasse. Elle portait un long chemisier blanc légèrement ouvert, une grosse ceinture noire à la taille, un legging et des talons aiguilles. Ses cheveux étaient longs mais attachés en chignon. Elle portait également de belles boucles d’oreilles et un long collier assorti. Elle avait mis un rouge à lèvres légèrement rosé et ses yeux étaient maquillées avec du fard bleu assortis à ses yeux de la meme couleur. Tout en m’approchant je vis qu’elle avait un soutien-gorge blanc à dentelles, très sexy.

Ces filles étaient en règle générale très polies et ne montraient rien de leur attirance pour un mec, seulement j’étais un expert et les yeux ne trompent jamais. Dès lors que tu réussissais à entrer dans leur intimité par le biais de la conversation, tu pénétrais dans un monde où toutes les perversions même les plus inimaginables avaient leur place. J’en ai rencontré des tonnes de filles de bonnes familles et toutes avaient des délires plus ou moins bizarres. Entre celles qui aimaient se faire baiser par plusieurs mecs et les autres qui ne pouvaient faire l’amour que devant un film porno, ou bien celles qui aimaient simuler un viol j’en avais pris plein les yeux. Qu’allais-je apprendre avec celle-ci ?
Mais j’avoue que j’aime ça rencontrer des filles aux airs prudes car elles s’avèrent être en fait des actrices pornos dans leur vie privée. Je savais aussi qu’elles aimaient les mecs comme moi un peu bogosse et loubard à la fois, et qui sont toujours à l’aise avec des inconnues. Je commençai à lui demander ce qu’elle faisait dans ce quartier et pourquoi elle n’était pas en train de se balader dans un joli parc avec ce beau soleil. Elle me répondit qu’elle cherchait une agence immobilière car elle venait d’arriver à Paris et qu’elle ne connaissait pas la ville.

Elle vivait chez une amie qui la dépannait mais cette dernière travaillait toute la journée, cela faisait donc deux semaines qu’elle était seule à Paris en train de chercher un appartement et elle était enfin contente de tomber sur une personne qui parle. « Mon œil oui » me dis-je, « Je sais que je te plais et des comme moi tu ne risques pas d’en rencontrer dans ton village de campagne », heureusement que je ne pensais pas à voix haute. On se mit à parler de la froideur des gens de Paris etc etc jusqu’à sa situation sentimentale. J’appris que son mec l’avait plaqué depuis un an pour sa meilleure amie et pour l’oublier elle avait décidé de venir à Paris.

Après une heure de conversation et l’avoir fait éclaté de rire à maintes reprises je compris que c’était dans la poche. Comme on dit « femme qui rit femme à moitié dans le lit » alors je décidai de passer à l’attaque en l’invitant chez moi. Petite précision elle m’avait dit qu’elle n’avait pas baisé depuis une année et qu’elle était très portée sur le sexe, je tombais à pic ! En plus elle était connue dans son village il était impossible pour elle de baiser avec un autre mec sur place, bref c’était une situation rêvée.
Je lui proposai alors d’aller à l’agence immobilière et de me rejoindre ensuite à mon appartement. Je lui écrivais mon adresse sur un morceau de papier lorsque mon meilleur ami arriva au café avec la petite salope brune que j’avais rencontré dans le métro il y a un mois.
Je fis les présentations rapidement et demanda à la provinciale si ça ne la dérangeait pas si mes amis venaient avec nous ce à quoi elle répondit « Au contraire », tout en dévisageant mon ami et la petite brune. Après quoi elle partit à l’agence et nous partîmes en direction de mon appartement mon meilleur ami la petite salope brune et moi-même.

Nous arrivâmes à mon appartement tout équipé de caméras espions. Je proposai une boisson le temps de faire des réglages dans ma chambre ou se trouvait mon ordinateur et j’invitai les deux compères à se mettre à l’aise.
Lorsque je revins dans le salon je les trouvai déjà en train de s’embrasser et la petite brune me dit : « Alors mon coquin c’est avec toi que je devais sortir non ? viens par ici tout de suite… ». Mon ami me regarda en souriant et continua de l’embrasser tout en glissant sa main sous son top moulant. « Je reviens de suite ma chérie » lui lançai-je. Je repartis dans ma chambre me déshabillai et revint en caleçon. Elle me fit un grand sourire alors que mon ami était déjà en train de bouffer ses seins au-dessus de son top et m’invita à m’asseoir à coté d’elle. Je commençai à lui caresser les cheveux la nuque puis le dos puis j’enlevai son tee-shirt. Elle avait des petits seins merveilleux en forme de poire que je me mis à caresser alors que mon ami se dirigeait vers son bas-ventre pour lui enlever sa petite jupe qu’il fit glisser jusqu’au sol, puis ce fut au tour de son petit string.

Elle se mit en arrière sur le canapé pendant que mon ami avait relevé et écarté ses jambes et commençé à lécher sa chatte épilée. Elle était si lisse qu’elle paraissait douce comme de la soie. Je me mis à l’embrasser sur la bouche puis lui léchai la nuque et enfin la poitrine. Elle commençait à gémir de plaisir, elle avait deux mecs à elle et elle adorait ça. J’aspirai ses petits seins tout en la caressant et je léchais ses tétons du bout de la langue. Elle appuyait sur ma tête avec ses mains pour que je continue et mon ami s’affairait avec sa jeune jeune et belle chatte. En tournant la tête je l’apercevais en train de lécher son clitoris qu’il tenait entre ses doigts et passait sa langue entre les lèvres de sa petite chatte humide. Son corps devenait de plus en plus chaud et l’odeur de son parfum m’excitait de plus en plus. Elle me fit un signe en matant ma queue alors j’enlevai mon caleçon et approcha ma queue déjà toute dure près de sa petite bouche. Je l’avais déjà vu sucer mon pote c’était à mon tour de sentir cette sensation. Elle prit ma queue en bouche et je me sentis comme aspiré et ma queue disparut dans sa bouche.

Puis elle se mit à faire des va-et-vient tout en me branlant et je bandais de plus en plus. Je lui demandai de sucer mes couilles et de continuer à me branler. Pendant ce temps mon ami était en train de lui doigter la chatte avec deux doigts et lui bouffer les seins. C’était très bon je lui disais « Vas y pompe salope tu l’aimes ma bite hein ?? vas y bouffe suce continue sale chienne de salope sale pute du métro mmm». Mon ami qui était encore habillé ouvrit sa braguette sortit sa bite et se mit à la frotter contre sa chatte tout en se branlant. La salope poussait des petits cris tout en me suçant et elle faisait des gorges profondes. Elle restait ainsi plusieurs secondes la bite entière dans sa bouche jusqu’à ne plus pouvoir respirer, la salive dégoulinait sur sa bouche et elle crachait volontiers sur mon gland pour mieux me branler. Mon ami enleva son pantalon se mit à son tour sur le canapé et elle se mit à le sucer.

Nos deux queues sur son visage la rendait folle de joie elle nous regardait tout en nous pompant et nous branlant. Elle n’arrêtait pas de cracher sur nos bites pendant qu’on lui massait les seins et lui caressait le ventre.

Elle prit ma main pour que je lui branle la chatte en même temps ce que je fis avec plaisir. Sa chatte était serrée malgré qu’elle soit une grosse salope qui s’enfilait régulèrement la grosse bite de mon ami, et comme elle était super excitée elle était trempée et mes doigts pénétrèrent sa chatte très facilement. Je la branlais alors qu’elle me suçait quel délire.

A un moment mon pote lui tint sa tête et je me mis à baiser sa bouche comme on baise un cul. A son tour il baisa sa bouche comme un marteau-piqueur et là j’eus un peu de peine car on y allait fort. Mais je me trompai car elle en redemandai et je continuai ainsi jusqu’à l’explosion. J’éjaculai tout mon sperme dans sa bouche tout en tenant sa tête pour qu’elle prenne tout et continuai à baiser sa petite bouche de chienne chaude sans la retirer complètement. Elle me fit un avalage de sperme dans les règles de l’art !

Je retirai délicatement ma bite de sa bouche et elle continua à me sucer doucement tout en me caressant les boules. Mon ami continuait de se branler puis il prit sa tête et enfonça sa bite dans sa bouche et elle se remit à le sucer avec ardeur. Je me dirigeai vers sa petite chatte qui m’excitait tant écartai ses jambes et me mit à la lécher. Sa chatte était trempée ses petites lèvres s’ouvraient au passage de ma langue et je sentais le parfum envoûtant de son vagin de jeune fille chaude. Je prenais un grand plaisir à lécher les beaux minous rasés et encore plus lorsqu’ils avaient moins de 25 ans. Je passais mon doigt sur sa raie et au passage appuyais sur son anus, une forte envie de lui défoncer le cul m’envahit mais je me contentai de la doigter légèrement. Elle prit ma main et appuya me faisant comprendre que je devais lui doigter le cul plus profondément tout en lui léchant le clitoris. Je mis mes doigts dans sa bouche et la salive aidant je la pénétrai de deux doigts dans son anus dilaté par l’envie, je la limai ainsi durant un certain temps son cul n’arrêtait pas de remuer pour faire augmenter son plaisir anal.

Au passage j’en profitai pour lui masser ses délicieuses petites fesses musclées. Après un long moment je décidai de m’arrêter pour prendre des photos de cette salope en train de sucer. Elle me plaisait particulièrement lorsqu’elle avait un gros cylindre dans la bouche. Ses lèvres épousaient avec perfection la bite de mon ami et glissait avec un mouvement si régulier tout du long de cette dernière comme rodée par l’habitude. Je pris mon appareil et les photographiai sous tous les angles. Puis elle demanda à mon ami de la baiser ce à quoi il s’attela sur le champ. Elle ne changea pas de position il se mit entre ses jambes et la pénétra tout en tenant ses jambes. Il la lima ainsi durant une bonne vingtaine de minutes. Elle devait être vaginale car le plaisir se lisait sur son visage et me redemanda de me sucer en même temps mais je préférais les photos. A un moment je craquai et elle me pompa alors que mon pote continuait de défoncer sa petite chatte mouillée en chaleur. Après une heure de baise intense il lâcha tout sur son ventre, c’est à ce moment que la porte sonna, c’était ma belle blonde coquine qui revenait de l’agence.

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